Un petite visite sur l’île de Chiloé nous permet de retrouver un paysage verdoyant, qui nous fait un peu penser a nos pâturages suisses (et le bocage normand comme dirait Fanny !). Les villages ont encore tous des maisons traditionnellesdont les façades sont en tuiles de bois appelées tejuelas. Ce sont de petites pièces de bois assemblées sans l'aide d'aucun clou! Et des églises tout en bois parsèment toute l’ile, dont 15 sont inscrites au patrimoine mondial de l'Unesco. Une petite balade au parc national nous fait passer par une jolie forêt ou s’enchevêtrent un nombre incalculable d’espèces végétales. Le clou de la balade, c’est les vaches broutant sur les dunes dominant l’océan, alors ça, on avait jamais vu !
Nous logeons à Castro, la plus grande ville de l’ile, où on peut admirer des palafitos, des maisons en bois sur pilotis. On dégote un hostel tenu par Luis, qui parait très bien au premier abord mais les surprises s’enchaînent. La première nuit, on est réveillé à 6h du mat par Luis et ses potes qui rentrent de soirée en faisant un vacarme pas possible. Le petit-déj (chaudement promu par Luis) ne comporte pas de pain, ben ouais, Luis était trop dans les choux pour s’en rappeler ! Le deuxième jour, Luis nous propose une soi-disant fête traditionnelle avec asado à la clé. Mais en fouinant un peu, on se rend compte que c’est surtout un anniversaire qu’ils vont fêter (donc pas tellement traditionnel), que finalement c’est pas toute la journée mais seulement le soir, que c’est une fête de pochtrons et que le but est de rentrer a 6h du mat bourré. Et en plus il faut payer pour tout ca, alors que d’autres de l’hostel y vont gratos ! Donc on laisse passer notre tour et à la place, on fait un bon souper super sympa avec Eric et Fanny (eh oui, c’est toujours eux, on n’a pas réussi à s’en débarrasser depuis la fin de Navimag… hehe!) et Jean-Claude qu’on a recroisé sur l’ile. Par contre, petite note négative, ce soir-là, on n’a pas de feu (les maisons sont chauffées au poêle ici). Eh oui, Luis n’a pas laissé de consigne à Mauricio, la personne qui le remplace, pour chauffer la maison. Heureusement, Yannick nous dégote quelques troncs à faire brûler pour éviter la buée quand on parle et le vin rouge aide aussi un peu à se réchauffer… Le lendemain matin, bonne surprise, pas de déjeuner du tout ! Luis a dû encore rentrer fin rond de sa fête… Ca commence à être fort ! Autant dire qu’au final, on obtient un bon discount sur le prix à payer, avec un Luis la queue entre les jambes, et le matin de notre départ, tout est prêt cette fois ! ;-)
Nous logeons à Castro, la plus grande ville de l’ile, où on peut admirer des palafitos, des maisons en bois sur pilotis. On dégote un hostel tenu par Luis, qui parait très bien au premier abord mais les surprises s’enchaînent. La première nuit, on est réveillé à 6h du mat par Luis et ses potes qui rentrent de soirée en faisant un vacarme pas possible. Le petit-déj (chaudement promu par Luis) ne comporte pas de pain, ben ouais, Luis était trop dans les choux pour s’en rappeler ! Le deuxième jour, Luis nous propose une soi-disant fête traditionnelle avec asado à la clé. Mais en fouinant un peu, on se rend compte que c’est surtout un anniversaire qu’ils vont fêter (donc pas tellement traditionnel), que finalement c’est pas toute la journée mais seulement le soir, que c’est une fête de pochtrons et que le but est de rentrer a 6h du mat bourré. Et en plus il faut payer pour tout ca, alors que d’autres de l’hostel y vont gratos ! Donc on laisse passer notre tour et à la place, on fait un bon souper super sympa avec Eric et Fanny (eh oui, c’est toujours eux, on n’a pas réussi à s’en débarrasser depuis la fin de Navimag… hehe!) et Jean-Claude qu’on a recroisé sur l’ile. Par contre, petite note négative, ce soir-là, on n’a pas de feu (les maisons sont chauffées au poêle ici). Eh oui, Luis n’a pas laissé de consigne à Mauricio, la personne qui le remplace, pour chauffer la maison. Heureusement, Yannick nous dégote quelques troncs à faire brûler pour éviter la buée quand on parle et le vin rouge aide aussi un peu à se réchauffer… Le lendemain matin, bonne surprise, pas de déjeuner du tout ! Luis a dû encore rentrer fin rond de sa fête… Ca commence à être fort ! Autant dire qu’au final, on obtient un bon discount sur le prix à payer, avec un Luis la queue entre les jambes, et le matin de notre départ, tout est prêt cette fois ! ;-)
2 commentaires:
réclamation....
je trouve idnamissible qu'avec un ordi portable, que ce blog ne soit pas à jour !!!!!
je suis entièrement d'accord avec l anonyme du message précedent... avec les fausses informations que contient ce blog. je cite :"qui nous fait un peu penser a nos pâturages suisses (et le bocage normand comme dirait Fanny !). c'est un scandale, ça ressemble plutôt à la Bretagne
boycotons ce blog !!!!!!
bisous des anonymes bretons
La résistance s'organise...signons une alliance Breizh-Normandie-Paris !!!
Fédoche et MArtina Higgins, c'est la fin de la neutralité, il faut choisir votre camp.
On va vous pourrir (dixit Fanny)
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